[GALERIE] En backstage avec les groupes du Desertfest London 2013

Written by Live

Truckfighters Desertfest

Au détour d’une ruelle de Camden, devant un pub, jamais très loin d’un van… The Heavy Chronicles a chopé au vol quelques uns des groupes les plus cool présents au Desertfest London 2013, pour leur tirer le portrait. Une seconde, un cliché, pour un week-end immortel. (Photos : Gaël Mathieu)

 

TRUCKFIGHTERS

Je commence à bien connaître les suédois, à force de les croiser tous les deux jours (ou presque) en salles. Ozo, Dango et Poncho doivent être les mecs les plus facile à shooter qu’ils soient, tant ils s’amusent à l’exercice. Du tout cuit. Vous voyez ces tronches de grands malades ? En live, ils sont dix fois pire…

MARS RED SKY

Mars Red Sky, toujours à la cool. La délégation bordelaise en concert à Londres, quelle stupidité m’aurait poussé à ne pas immortaliser ça ? Tu n’as pas encore écouté leur dernier EP, allez rattrape-toi maintenant : marsredsky.bandcamp.com/album/be-my-guide-ep

STEAK

Mes chouchous. Non seulement parce que leur zik est trop cool, mais aussi parce que j’ai eu affaire à ces dudes un grand nombre de fois pendant le festival : entre l’interview au Brew Dog, les after parties, leur gratteux qui gère le festival… La coolitude humaine, oui (même s’ils se la jouent super sérieux sur la photo), et la coolitude musicale aussi : steakmusic.bandcamp.com

GURT

Ces monstres du sludge londonien sont aussi abordables et adorables que des chatons. Je sais : la blague était facile, trop tentante. Mais c’est vrai : ces mecs sont aussi cool que leur son est lourd. Jugez donc par vous-même : gurt.bandcamp.com

KADAVAR

On a chopé Kadavar après leur show au Jazz Café. Même si on repère leurs grandes silhouettes à des kilomètres, pas facile de réunir les trois rockeurs, tant ils étaient sollicités dans tous les sens. Mais parce que ces mecs n’ont qu’une parole, ils nous ont suivi sans rechigner dans une ruelle pas loin du Black Heart pour le cliché le plus vintage du fest. Das is gut !

JOHN GARCIA

J’avoue, le bonhomme m’impressionnait, et m’impressionne encore. Parce que si malgré les apparences, Garcia est en fait un homme adorable, il n’en reste pas moins qu’il peut te foutre un coup de pression d’un simple regard. Gaël l’a chopé au vol dans un couloir du Ballroom pendant que je faisais l’interview avec Arthur Seay, il ne s’y attendait donc sûrement pas. Mais la photo de Unida montre bien qu’il a finit par se détendre…

DOZER / LOWRIDER

Le hasard. Nous, on était speed, à deux secondes d’aller interviewer Unida à l’Electric Ballroom. Eux, ils étaient en train de charger leur matos avant de reprendre la route. On a rigolé en se demandant si on allait plutôt titrer cette photo « Lozer » ou « Dowrider ». Ce qui est sûr, c’est qu’il y a beaucoup d’amitié entre les deux groupes suédois. Légende.

PENTAGRAM

À grosse pointure américaine, conditions plus que serrées pour une simple photo. On a eu la chance de pouvoir « avoir » le groupe en photo avant leur concert le dernier soir, mais on a bien senti qu’il fallait pas trop en demander. Heureusement que Matt Goldsborough et Sean Saley se sont montrés cool, histoire de compenser un peu l’attitude aigrie de Bobby Liebling.

UNIDA

La logistique pour arriver à faire l’interview du groupe après leur concert au Ballroom n’a pas été de la plus grande simplicité, mais une fois les membres du groupe réunis, on a su qu’on avait affaire à des pros. Patience d’anges, gentillesse et disponibilité… John Garcia, Arthur et Owen Seay, et Miguel Cancino avaient beau être crevés, ils se sont pliés à l’exercice de la manière la plus cool qui soit. (LIRE L’INTERVIEW)

THE SHRINE

Un peu de chaos dans ce week-end londonien (que j’avais planifié à la seconde près) ! C’est en interviewant les mecs de The Shrine que j’ai compris que dans la vie on ne peut pas toujours tout contrôler. On pourrait croire que les choses se sont passées à la cool, ou qu’on a pris le temps de trouver « l’endroit » ou LA mise en scène. En fait pas du tout : on avait ni prévu la présence d’une chaise roulante ou d’un clodo bourré dans l’équation. Freestyle et rock’n’roll quoi ! (INTERVIEW COMING SOON)

GLOWSUN

Être au Desertfest, c’est être entourés de gens qui parlent anglais pendant 3 jours. Alors en bon chauvins, on aime bien se retrouver de temps à autre avec des copains qui parlent la même langue, et avec qui on peut échanger plein de conneries. Les mecs de Glowsun sont les candidats idéaux pour un moment détente entre deux concerts. Enfin, entre deux murs en brique.

Un grand merci à Gaël Mathieu pour le safari photo !
Tous ses clichés sur Flickr et Facebook.

Last modified: 14 octobre 2013